L’œil de sa Majesté
Un diadème, c'est une reine. La coiffe, c'est une bigoudène...
Ce soir, nous parlons photo. Celle-ci semble ratée. Dans la bousculade d’une certaine élection, un dimanche de juillet, à Quimper.
Flou au premier plan, flou à l’arrière-plan. Au centre, un œil, oui, mais aussi des couleurs, fortes, qui réchauffent en ce mois de novembre. Le miz du, le mois noir. Chères lectrices, chers lecteurs, vous n’êtes pas insensibles à la joie qui se dégage de cette moitié de visage… d’une reine. Et puis vous avez regardé les broderies de la coiffe et du costume. Remarquables, non ? Un sacré patrimoine.
Vos commentaires
C’est toujours un plaisir de lire vos commentaires. Ils ont été nombreux et très pertinents sur l’article « Travailler le dimanche ». Merci à tous. Vous pouvez en ajouter d’autres. Quelques questions me titillent toujours. Si la jeune caissière touchait un très bon salaire, accepterait-elle de travailler le dimanche « pour gagner un peu plus d’argent » ? Au fait, qui travaille ou qui achète ce jour-là ?
Sur les photos
La photo qui illustre cet article a été prise non pas un dimanche, jour de « pointe » pour un journaliste mais un mardi, au cours d’un moment de détente à Tréboul. L’église est celle de Douarnenez. Quant à la photo de l’article « Kermoysan-sous-bois » a été prise de l’autre côté de ce qu’une lectrice fidèle appelle « la transbigoudène », la quatre voies entre Quimper et Pont-l’Abbé. A Penhars, de la rue Albert-Thomas où se termine un programme de constructions de l’OPAC.