Patrick Clermont : « La MPT doit retrouver sa place »
Patrick Clermont,directeur de la MPT, entouré de Karine Arz, adjointe chargée de Penhars, Odile Kerdranvat, présidente de la MPT, Isabelle Le Bal, adjointe chargée de la culture,et des membres du CA.
Isabelle Le Bal, adjointe au maire, chargée de la culture et Odile Kerdranvat, présidente de la MPT de Penhars, ont organisé, cet après-midi, une conférence de presse pour présenter Patrick Clermont, le nouveau directeur de la MPT.
46 ans, marié, père de deux enfants, Patrick Clermont a assuré pendant 16 ans et demi, et avec succès, la direction de la MJC de Douarnenez. A Penhars, il lance un nouveau pari, « que la MPT retrouve sa place dans le quartier et dans la ville ». Un enjeu de taille pour une maison qui, pendant quatre, ans a connu de nombreuses difficultés de toutes sortes. Humaines et financières. Le bateau n’a pas coulé, mais ce fut juste.
Toute la confiance
« On l’a choisi, a expliqué la présidente, pour les compétences qu’il a montrées à Douarnenez, pour son expérience. On est heureux de l’accueillir à Penhars ». Une joie exprimée aussi par Isabelle Le Bal qui a également remercié le CA et le bureau pour « avoir tenu bon dans une période difficile ». « Le nouveau directeur a toute la confiance de la municipalité », a-t-elle continué, en soulignant que son arrivée coïncide avec la mise en route de la rénovation urbaine du quartier. Et, entre autres choses, la construction de la deuxième tranche de la MPT.
Une tonalité culturelle
La MPT de Penhars va retrouver enfin une unité de lieu. Côte à côte, sur le Terrain blanc, il y aura le secteur jeunesse, déjà construit, le pôle adultes et une salle de spectacles de 270/280 places assises, plus grande que le théâtre Max-Jacob. « Cette salle, a assuré l’adjointe au maire, va être un pôle phare sur le quartier et sur la ville ». « Une vraie salle professionnelle » qui va nécessiter la mise en place d’un projet d’établissement avec « une tonalité culturelle » forte. C’est le rôle du nouveau directeur qui peut compter sur les acteurs culturels du quartier, Balles à fond, la New school, et les nombreuses associations qu’il a commencé à rencontrer.