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Publié par Penhars infos

maurel

Emmanuel Maurel, celui que le conseil national du PS veut placer deuxième sur la liste des candidats aux élections européennes pour le Grand Ouest (Bretagne, Pays de Loire, Poitou-Charente).

 

Parachutage, combine, du n'importe quoi, un mépris des gens du terrain que n'apprécient pas du tout, non plus députés et sénateurs socialistes du Finistère comme le montre l'article paru aujourd'hui sur le blog de Jean-Jacques Urvoas, député du Finistère, président de la commission des lois.

 

Voici le texte in extenso

 

  " Demain, les socialistes sont invités à se prononcer sur une proposition de liste établie le week-end dernier par le Conseil National du PS. Elle concerne la circonscription qui, pour le scrutin européen, rassemble les trois régions de Bretagne, Pays de Loire et Poitou-Charente.

 

  En l’état, les socialistes ont trois sortants, aussi est-il sage de s’attarder uniquement à ces trois premières places. La proposition est donc la suivante : Isabelle Thomas (Bretagne) en tête de liste, Emmanuel Maurel (Ile-de-France), Françoise Ménard (Poitou-Charente).

 

A sa découverte, avec tous mes collègues députés et sénateurs socialistes du Finistère, nous avons voulu immédiatement manifester d’abord notre surprise puis ensuite notre hostilité.

 

C’est la raison pour laquelle hier soir, nous avons publié le communiqué qui suit.

 » Jeudi prochain, nous refuserons d’adopter la proposition de liste établie par le Conseil national du PS pour le scrutin européen.

-          En votant « non », nous voulons marquer notre refus d’une pratique éculée et contre-productive électoralement : celle du parachutage,

-          En votant « non », nous manifestons notre hostilité au calendrier retenu qui interdit un réel débat associant tous les adhérents du PS,

-          En votant « non », nous condamnons la méthode d’élaboration a abouti à construire une liste dépourvue de cohérence géographique,

  

 En votant « non », nous voulons permettre au PS de reprendre ses travaux pour reconstruire une proposition qui intègre, comme ce fut toujours le cas, un représentant de chaque région dans les trois premières places de la liste. »

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J
On se demande comment les pontes du PS ont pu avoir cette idée.
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