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Publié par ARC

 
Depuis 1992, l'ancienne maison "Marchadour" abritait des services de la petite enfance. 
 
En juillet 2006, deux jours ont suffi à la pelle hydraulique pour raser la Maison rose, à l’angle du Terrain Blanc de Kermoysan.
 
Il faisait beau. On était en vacances. La démolition de ce dernier vestige du patrimoine industriel du quartier est passée presque inaperçue. Quelques mois après le spectaculaire chantier de la tour L3. Une ménagère cependant avait avoué son émotion de voir détruire « une si jolie maison » qui avait abrité Henri Marchadour, le patron de l’usine HEMA, en activité sur le Terrain Blanc jusqu’en 1969. L’abattage, en septembre, des 40 cyprès qui entouraient la maison, devait susciter plus de réactions.
 
Rester sur le quartier
Cette démolition était annoncée, dans le cadre de la rénovation urbaine et de la restructuration de Kermoysan. A l’emplacement de la Maison rose, l’OPAC de Quimper Cornouaille construit aujourd’hui un immeuble de 39 logements sur trois et quatre étages. Il permettra de reloger une partie des habitants des rues de Vendée et de Picardie qui ont exprimé le souhait de rester sur le quartier après la destruction de leur immeuble. Les premiers locataires devraient pouvoir s’y installer vers la fin de l’été 2008.

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Le nouvel immeuble OPAC construit à l'emplacement de la Maison rose, sur le TerrainBlanc, pourrait accueillir ses premiers locataires dans un an.

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