Deux saisons : la mousson et l’hiver
Nostalgie, nostalgie!
J’avais pris mon pied ce jour-là. Un pied beau. Un joli pied de nez à la pluie.
Stop ! Ai-je à peine écrit une ligne que le mot «pluie » s’installe, chez moi, en trombe. Par les temps qui courent, on n’est à l’abri de rien. Le temps court tellement vite qu’il devient complètement détraqué. Gâté pourri.
Il ne sait plus qu’il y a normalement, chez nous, quatre saisons. Le printemps cui-cui, la sève et le rut, l’été chaleur, les bains et le rut, l’automne, la rentrée, les glands et le rut abaga, l’hiver, la cheminée, les cadeaux et le rut. C’était rutement bien.
Liquéfié
Maintenant, queue dalle. Deux saisons : l’hiver et la mousson. En plein juillet, on supportera bien une petite flambée en rentrant du feu d’artifice qui, de toute façon, n’aura pas lieu à cause de la pluie. La blague du jour : « Vous avez été en vacances en… ? ça vous a plu ? ».Ce n’est pas au goutte à goutte que notre moral se liquéfie, c’est à plein seaux. Il étang de faire quelque chose. Et si vous avez un tuyau, mettez-nous au courant. Vous serez payé en liquide.
Ce jour-là, oui, j’avais pris mon pied, au soleil, sur la plage. Mais ça vous fait une belle jambe. Soyez patients. Dans ses archives, Penhars infos doit bien avoir une photo du soleil. Si, si. Il vous la montrera, à la prochaine lune.