La « maigritude », à vue d’œil
Il y a plusieurs jours que le totem " protecteur " a disparu.
Voilà ce qu’il reste, ce matin, de la tour d’Anjou. On est entré dans la phase délicate de la démolition.
Les coups de mâchoire du « crocodile » sont beaucoup plus mesurés qu’au début du chantier, plus délicats. Il faut bien sûr éviter que le dernier pignon sur rue ne s’écroule d’un coup sur le Bd de Bretagne.
Les gravats qui sont tous sur place servent à surélever la plate-forme sur laquelle évolue la pelle hydraulique.Son bras pourra atteindre les derniers étages du pignon et la destruction de la tour va se faire en dégradé, comme un escalier. Par sécurité, un grand rideau d’épaisses bandes de caoutchouc sera installé. Ce qui avait déjà été fait sur le chantier de la tour L3.
.