Une journée contre la misère : c’est tout ?
Au départ de Kermoysan, pour la « Marche contre la misère et pour la paix », il y avait du monde. Pas trop. A l’arrivée au centre ville, il y avait du monde. Pas assez. Ce soir encore, il y aura des gens en détresse, beaucoup trop.
Que faire alors ? Chacun peut y réfléchir, individuellement, en famille, dans les associations, dans les partis politiques. Et agir. Tous les jours, toute l’année. Mais pas de « charité », la blessure qui laisse longtemps des marques.
La solidarité
Au départ de Kermoysan, Liliane et Marie-Jo, deux habitantes du quartier, ont évoqué la solidarité, avec émotion et conviction. La solidarité qui peut « donner à chacun et à chacune une seconde chance ».