" Le festival Le Cornouaille est une vitrine de notre région ", insiste le maire de Quimper
Ludovic Jolivet, maire de Quimper, Jean-Michel Le Viol, président du festival, Nathalie Sarrabezolles,présidente du conseil départemental, Gwenn Richard et Carole Le Mouël, demoiselle d'honneur de Marion Burlot Reine de Cornouaille 2017 (excusée)
Le festival Cornouaille Kemper a débuté ce matin. Six jours de joie, de fête, de culture, de découvertes, de rencontres et d'ouvertures comme on l'a dit au cours de l'inauguration à l'Espace Gradlon.
Pour cette 95ème édition, le président Jean-Michel Le Viol a rapidement rappelé l'historique : la Fête des Reines en 1923, le Triomphe des sonneurs en 1948, la transposition de la danse sur scène en 1963, le " revival breton " après 1972, les costumes modernes ... " Actuellement, un budget de 1,5 M€ et 28000 € de déficit après l'édition très humide de l'an dernier. " C'est un festival urbain, en plein air et donc dépendant de la météo. Mais nous voulons garder notre indépendance et développer la gratuité ! Dans la perspective de 2023, nous envoyons des signaux forts à nos partenaires ".
" Le département du Finistère est un de ces partenaires " a rappelé Nathalie Sarrabezolles en avouant son impatience de retrouver " Le Cornouaille " qui partage tradition et ouverture sur l'extérieur. Qui développe les liens de solidarité.
" Nous avons besoin de créativité "
" Nos destins sont intimement liés " a déclaré le maire en réponse à Jean-Michel Le Viol. Il a rappelé que pour lui, pour les Quimpérois, le festival rythmait nos vies. " On a besoin de ce festival , des gens qui s'engagent pour leur territoire et pour leur région.Nous avons aussi besoin de créativité, les Bretons attendent que le festival œuvre sur la création ".